Mon Premier Voyage De Femme « Libre »… 4° Partie

A cet instant, j'ai totalement perdu pied. Je ne contrôlais plus rien.
Les deux coquins ont pris possession de mes jambes, de mes cuisses et de mon sexe. Jeff m'a embrassée dans le cou. Il m'a donnée des frissons dans tout le corps ; Je me suis abandonnée à ses mains investigatrices. Je me suis glissée pour mieux m'offrir à leurs caresses. L'air était électrique dans le taxi. Le chauffeur avait orienté son rétroviseur pour ne pas perdre une miette du spectacle que je lui offrais.
Après Jeff, c'est Antoine qui venait m'embrasser.

Quand j'ai ouvert les yeux, j'avais deux queues qui étaient sorties de leur pantalon. Antoine en avait une légèrement plus fine que Jeff, mais peut-être un peu plus longue. Toutes les deux étaient raides. Je sentais les doigts de mes deux cochons qui me fouillaient, me forçaient à me cambrer davantage. Un doigt, deux doigts trempés de ma mouille me pénétraient l'anus maintenant. J'étais perdue. Antoine me prit ma main pour la poser sur son sexe tendu. Jeff fit de même. Je pris du plaisir à les flatter, à les caresser, à les décalotter, à les masturber lentement. Ce fut Antoine qui trouva le déclic et me fit monter au ciel encore une fois. J'ai attendu quelques instants avant de sentir mes deux coquins, frustrés, qui repoussaient ma main pour se rhabiller. Nous arrivions à l'hôtel.

Le Lutetia est un hôtel magnifique. Jamais je n'avais eu l'occasion de dormir dans un hôtel aussi luxueux. Jeff me prit dans ses bras pour m'accompagner dans sa chambre. Nous prîmes l'ascenseur, un modèle qui mélange élégamment l'ancien et le moderne. Jeff ne put s'empêcher de me lever ma jupette dans l'ascenseur, pour me caresser les fesses. Je t'adore Éva, m'a-t-il glissé à l'oreille en m'embrassant dans le cou. Je me sens légère avec lui.
"Ne bouge pas m'a-t-il ordonné."
Il m'a soulevé la jupe et m'a prestement descendu mon string.
"Je le garde" a-t-il dit en le renflant avant de le placer dans la poche de sa veste.


Juste à temps avant que la porte ne s'ouvre.
Et moi, je lui ai souri, un peu décontenancée…

La chambre était immense, magnifique. J'étais étourdie par tout ce luxe.
Jeff me prit dans ses bras et m'embrassa sur la bouche, d'un baiser passionné qui m'étourdit un peu. Son premier baiser, me dis-je, en le serrant également dans mes bras.
Il me fit reculer doucement pour me déposer dans une bergère qui m'attendait.
"Ne bouge pas, ma belle, je reviens avec des bulles."
Il ouvrit une bouteille de champagne bien frais et me présenta une coupe…
"Santé ma belle, à notre plaisir…"
Jeff me resservit 2 ou 3 fois et je commençais à avoir la tête qui me tournait. Je n'avais rien mangé depuis quelques heures. Jeff pris conscience de mon étourdissement. Il s'en amusa tout d'abord, puis me proposa de nous faire livrer une petite collation, ce que j'acceptais aussitôt.
Une fois la commande passée, il revient vers moi.
Ma belle, tu es encore trop habillée et me défit 2 boutons de mon chemisier.
Jeff pouvait apprécier ainsi le sillon qui sépare mes seins fermes et lourds.
Il en profita pour sortir un sein et titiller mon téton durci par le désir qui remontait déjà.
Il s'en amusa et le mordilla légèrement pour me donner des frissons dans tout le corps.
Il sembla apprécier ma réaction en m'offrant son plus beau sourire.
Quelqu'un frappa à la porte. J'eus juste le temps de ranger mon sein. C'était Antoine.
"Bonjour les amours. Vous vous êtes installés ?" dit-il en me souriant en semblant soupeser ma poitrine des yeux…
Je vois que vous ne m'avez pas attendu en regardant la bouteille de champagne déjà bien entamée.
"Vas-y mon ami, sers-toi, il y en a d'autres."
A nouveau quelqu'un se manifesta à la porte. C'était le garçon d'étage.
Il nous apportait de quoi nous restaurer.
"Tu veux pique-niquer avec nous Antoine ?"
"Avec plaisir" répondit Antoine, en me déposant un baiser dans le cou.


Pendant qu’Antoine nous resservait à boire, Jeff déposait les plats à même le sol.
Nous voilà à pique-niquer ici au Lutetia, c’est surréaliste.
Vite, il faut que je mange et j’ai la tête qui me tourne un peu.
Il n’y a pas grand-chose, mais c’est très fin. Je me régale. Je me sens bien.
Assise par terre, ma jupette ne cache plus grand-chose, mais qu’ai-je à cacher ?
Mes coquins n’arrêtent pas de me mater, c’est que je leur plais, c’est l’essentiel. J’en suis très flattée.

A un moment, je suis obligée de me mettre à genou pour attr un fruit. Le coquin d’Antoine en profite pour me caresser les fesses. Il est tout surpris de ne pas trouver de string. Jeff profite de son côté pour me défaire un nouveau bouton de mon chemisier et j’ai un sein qui sort. Je me sens comme un jouet entre leurs mains. C’est un sentiment nouveau pour moi, mais la situation, le contexte font que je suis plutôt fière d’avoir ces deux hommes si mignons près de moi et qui me désirent. Combien de femmes aimeraient être à ma place ? Combien de femmes ne connaîtront jamais la moitié de ce dont j’ai profité aujourd’hui… Je pense à Paul qui est loin de moi. Je pense à tout ce que je serai fière de lui raconter, et je sais qu’il va adorer…

J’ai à peine le temps de finir mon fruit qu’Antoine se lève pour ouvrir une nouvelle bouteille de champagne et que Jeff se lève à son tour. Il me prend la main pour me redresser. Me voila sans défense face à lui et à son désir que je vois dans ses yeux qui brillent.
Il me prend dans ses bras et me fait tourner. Ma tête tourne, je perds pied, il me ratt, m’embrasse, nos langues s'emmêlent, je me sens ailleurs, je me lâche, j'ai envie de plaisirs, de jouissances…
D'autres mains viennent me caresser.

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